Je publie un extrait de courrier qui date du 06/04/2009, toutefois, si certaines choses ont quelque peu diminué en intensité, ,ou se sont déplacées, elles subsitent encore.

J'ai rajouté quelques petites choses qu'il me paraissait nécessaire d'ajouter.

Je précise encore que ce n'est pas mon travail, mais alors que l'on ne cessait de me menacer, je n'ai eu d'autre choix que de recueillir les éléments moi-même, les autorités ne voulant pas ou ne pouvant pas intervenir tant qu'il n'y a pas de faits.
Laissant entière liberté à la racaille de me menacer, de se moquer de moi, et de faire leurs petits commerces divers...

C'est donc bien APRES les menaces et provocations diverses que j'ai reçues qu'il m'a fallu chercher des éléments.
En effet, lorsqu'elle intervient, la police municipale me demande l'identité des individus ou des éléments permettant de les identifier, comme si c'était à moi de faire leur travail, alors que ce sont des individus qui traînent à longueur de journée dans Ozoir, donc connus.

Il a été dit aussi que des personnes connaissaient mes faits et gestes, aussi , étant donné mon emploi du temps et la configuration des lieux, il ne peut y avoir que le voisin qui rapporte...Etant donné ce qui a été cité plus haut et le fait que beaucoup de personnes savent ce que je fais ou ne fais pas, pourquoi alors n'aurais-je pas moi aussi tenté de savoir ?...

Autre exemple démonstratif : si l'on questionne quelqu'un au hasard sur certaines choses, la personne dira que cela ne l'intéresse pas, et une autre personne prise aussi au hasard dira la même chose...etc...

Il se pose alors une question : Comment se fait-il que, si certaines choses n'intéressent personne, tout le monde sait et parle dans le dos des autres ?  Curieux, non ?

Ce qui a entraîné que je connais maintenant quelques adresses et numéros d'immatriculation, types, et couleurs de voitures, et quelques noms aussi.
Ce qui aussi, par voie de conséquence, amène le fait que je sache où aller au cas où le besoin s'en ferait ressentir. Et les autorités aussi.


Voici donc :

......Ces individus, dont le fameux individu à casquette que connait bien mon voisin, se rendent parfois aussi au « café des sports » ou au café « la belle époque », ou encore le café « le Nylton », qui s'appelle maintenant le « Santa Monica ».

Cafés non loin lesquels se déroulent parfois des activités de commerce divers, le soir, pendant qu'au moins trois voitures de police (serigraphiés ou non) tournent sur Ozoir-la-Ferrière,en plus de la police municipale, je l'ai parfois constaté.

Ou des personnes se donnent des rendez-vous commerciaux à l'ancienne gare vers 23h30, toujours au nez et à la barbe des policiers municipaux, de la police, et de la B.A.C en voiture banalisée...

Ou alors aussi une partie de ces personnes vient revendre à l'entrée du bois au croisement route Royale / avenue Colbert.(quelquefois vers 19h30)

Cela se passe toujours de la même façon ,devant les cafés ou à l'entrée des bois, une personne téléphone, une voiture arrive cela dure de trois à cinq minutes, et la voiture repart.

Ensuite toutes les personnes présentes repartent seules ou en petits groupes dans des directions différentes...

Ou alors, en arrivant, elles marchent un peu comme en quinconce, de telle manière que, de loin, on n'ait pas l'impression qu'elles soient ensemble ou qu'elles se connaissent.

Personnes qui ne manquent pas,chaque fois que je passe par là , de m'interpeller ou de m'insulter, ceci dans le but que je réponde, ou que je revienne avec de l'équipement de nettoyage.

Cela tendrait à prouver aussi que ces individus ont entendu parler de moi, par qui ?

Et pendant ce temps la Police Municipale se montre à six ou sept à l'arrivée du train de 19h30 en provenance de Paris...juste pour montrer qu'elle est là.

Phénomène qui s'est reproduit le jeudi 10/09/2009 vers 19h20.

Devant la supérette de la gare gravitent souvent des individus désoeuvrés qui préviennent sans doute les autres qu'ils peuvent se donner rendez-vous à l'entrée des bois...

Ce qui tendrait à prouver que ces individus se moquent totalement de la police ou pensent pouvoir agir et menacer les gens en toute impunité, Comment cela se fait-il ?

Individus menaçants dont fait sûrement partie une certaine personne de l'avenue Turgot à Ozoir-la-Ferrière (je connais , bien entendu, l'adresse complète) qui promène quelquefois son chien molossoïde sans muselière et sans laisse...et qui, avec l'un de ses accolytes, a déjà fait semblant de me suivre alors que j'étais à vélo. Laguna rouge, Mégane "sport"  bleue...

Qui gravite aussi aux alentoutrs de la Gare et du restaurant "Yildiz.

Que pourrait-on dire aussi de la personne  style "rasta", qui n'habite pas très loin, que le voisin connaît, et qui d'ailleurs a été déjà citée dans un des courriers au Procureur de la République de Melun, et chez qui les gendarmes sont venus il y quelque temps  à 6h00 du matin avec des chiens afin de renifler sans doute des produits stupéfiants ?

- Accessoirement,au café « la Belle Epoque » se rend aussi , mon ex beau-frère, avec qui j'ai déjà eu quelque altercations, et qui aurait été (ou serait encore) un consommateur de produits stupéfiants à fumer, et qui se rendait aussi à l'adresse bien connue que l'on appellera « X », connue aussi des forces de l'ordre.

Je peux dire aussi que mon voisin mitoyen continue d'entrer en contact avec une personne habitant (ou se rendant) à un autre endroit que je connais, et où se rendait aussi un individu de type Africain qui m'a déjà menacé , personne qui était (ou est encore) en relation avec l'adresse « X », où il vient y déposer ou chercher des voitures à des heures où on ne le voit pas, et qui roule en ville à des vitesses bien supérieures à 45 Kmh.

De plus, je peux aussi ajouter que l'individu à la casquette était une connaissance de plusieurs personnes citées déjà dans mes courriers, à savoir un des frères .... et l'individu de type africain qui se rendait souvent à l'adresse « X ».

J'insiste sur l'adresse « X », car mon ex-beau-frère m'a dit, je cite, « il y a des personnes de Montfermeil qui voulaient rentrer chez toi et tuer tout le monde à la Kalashnikov » lorsque je lui ai parlé de cette adresse.Selon lui, ce serait grâce à lui si ces individus n'auraient pas mis leurs menaces à exécution, ce qui tendrait à démontrer qu'il connaît leur identité.

Je remarque qu'il n'a toujours pas été demandé à mon ex-beau-frère l'identité de ces individus...c'est dommage...

On peut remarquer que l'on laisse courir certaines personnes, alors que si par exemple j'avais proféré de telles menaces envers mon voisin, par exemple, la police municipale accourrait dans les cinq minutes !

On dirait que lorsque mon voisin ou sa femme appelait la police municipale, cela avait pour effet de leur donner des ailes, alors que si maintenant moi ou d'autres personnes appellent, ils ne se déplacent même plus...En effet, je ne suis pas le seul à m'en plaindre !

  On pourrait aussi citer comme exemple les nombreuses fois où, moi ou d'autres personnes, avons signalé que certains automobilistes de l'avenue Colbert ou Turgot, entre autres, passent à bien plus que 45 Km/h au croisement avenue Massenet/Avenue Pierre Curie.

Phénomène encore plus inquiétant sur l'avenue Le Nôtre, et les avenues qui sont dans le prolongement de celle-ci, puisque les personnes venant de Roissy-en-Brie tournent à leur gauche à la hauteur du garage qui se situe à l'entrée d'Ozoir-la-Ferrière, et accélèrent jusqu'à la Gare SNCF, sans se soucier ni s'il se trouve des piétons, des vélos, ou de l'heure.

En effet, si vous essayez d'en suivre un pas hasard, vous constaterez que vous êtes souvent à plus de 80 km/h au compteur, donc c'est bien tout de même que ces personnes ont pris l'habitude de rouler à cette vitesse là où c'est normalement limité à 45 Km/h!

Lorsque l'on questionne la police municipale sur tout cela, ils répondent qu'ils ne peuvent pas être partout à la fois...le problème est qu'ils n'y sont jamais, sauf quand ce cher voisin les appelle, par exemple...

Toutes les personnes citées précédemment, ainsi que mon voisin et ses acolytes, font les niais ou sont tous gentils devant les policiers, pour ensuite recommencer leurs provocations une fois qu'ils ont le dos tourné, se moquant ainsi totalement de la police.

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